Aujourd’hui, les Français se montrent de plus en plus inventifs dans leur vie intime. Un nombre croissant de couple fait appel aux accessoires coquins pour pimenter leurs ébats. Entre les huiles de massage et les sextoys, les amoureux ne tarissent pas d’idées pour sublimer les plaisirs à deux.
Des accessoires coquins pour une vie intime épanouie et satisfaisante
Désormais, l’utilisation d’accessoires coquins n’est plus une exception. De plus en plus de couples y ont recours pour pimenter leur vie sexuelle. Si l’on en croit les statistiques, environ un couple sur quatre utilise de l’huile pour se masser mutuellement. Dans plus d’un couple sur cinq, la lingerie se fait coquine. Les sextoys sont aussi présents, mais seulement chez moins d’un couple sur six. Et il ne faut pas oublier les objets ludiques comme le plumeau ou encore le bandeau, qui restent néanmoins exceptionnels et présent chez environ un couple sur dix.
Quelques limites tout de même
Même si les Français font preuve d’audace dans leurs relations intimes, il subsiste tout de même des limites. Ils sont notamment nombreux à refuser de dissimuler un accessoire coquin à portée de main dans le tiroir de la table de nuit par exemple : ils sont un peu moins de 80 % à être contre les sextoys à portée de main. Plus de 60 % refusent la lingerie coquine contre 68 % pour les huiles de massage, toujours dans le contexte de les mettre à disposition, non loin des espaces habituellement dédiés aux actes amoureux et passionnés. Quoi qu’il en soit, les couples ne sont pas contre ces accessoires qui apportent une amélioration certaine dans leurs relations intimes : ils sont près de 75 % à l’affirmer.
Alors, quelle place pour le sextoy ?
En définitive, le sextoy ne constitue pas un objet tabou, loin de là. Ce qui freine les Français, c’est le fait de se rendre auprès d’un sex shop et d’entreprendre alors un shopping peu ordinaire. Ils sont près de 13 % à ne pas oser franchir le pas et préfèrent s’abstenir d’acheter. 6 % n’a même pas envie de se rendre auprès de ces boutiques spécialisées. Mais, dans tous les cas, le mot d’ordre est le « plaisir ».